For me, these texts are Poet of the first half of the XXth century, Dadaist then surrealist, is particularly close to Aragon and Breton. He expresses both his ill-being and his love, sometimes crazy, sometimes jaded. The Capital of Pain is his first published collection. He navigates around the communist party, ending up being excluded from it. He opens the voice to artists' commitment: he defends an active artistic practise to make social change in "the right direction" towards a goal he desires. Poet of the first half of the XXth century, Dadaist then surrealist, is particularly close to Aragon and Breton.
#POEME PAUL ELUARD CAPITALE DE LA DOULEUR PLUS#
Il n'est personne qui, pour un temps bref au moins, n'ait fait l'expérience de pareille illumination, mais les avares et les prudents ont la règle de rabaisser les yeux au plus vite, tandis que la leçon d'Éluard est de substituer définitivement le monde ainsi transfiguré à l'ancien et de s'en mettre plein la vue et plein les doigts sans avoir peur de se déchirer à ses aigus sommets."
Combien sont-ils, à la réflexion, qui l'aient porté en eux toujours et qui en aient imprégné leur œuvre à la manière d'Éluard ? Capitale de la douleur, L'amour la poésie, je vois en ces livres des tableaux de la vie commune telle que par l'amour elle est rendue poétique, c'est-à-dire illuminée. L'amour la poésie, ce titre (que je trouve follement beau), n'est-ce pas la formule exacte qui en coiffant impérieusement la vie permet de la renouveler ? La plupart des poètes ont célébré l'amour. Transmuer en une sorte d'or vierge l'aspect des joies et des douleurs communes à tous, pour en faire éclater la splendeur unique, Éluard fut capable de cela plus intensément et plus aisément que nul autre. Transmuer en une sorte d'or vierge l'aspect des joies et des douleurs communes à tous, pour en faire éclater la splendeur unique, Éluard fut cap "Parler aux hommes le langage de tous les hommes et leur parler cependant un langage tout neuf, infiniment précieux et simple pourtant comme le pain de la vie quotidienne, nul poète, avant Éluard, ne l'avait fait si naturellement. This work questions happiness it exalts sometimes the joy of living, sometimes the feeling of bitterness and disillusionment, and plunges the dreamer into the heart of the world and its darkness, like another Spleen de Paris that would mix verse and prose, in a redefinition of modern beauty."Parler aux hommes le langage de tous les hommes et leur parler cependant un langage tout neuf, infiniment précieux et simple pourtant comme le pain de la vie quotidienne, nul poète, avant Éluard, ne l'avait fait si naturellement. The 113 poems in this collection could relate Capitale de la douleur to Les Fleurs du mal, much admired by Eluard (100 poems for the 1857 edition, 126 for baudelaire’s 1861 edition) and even in the euphony of titles rhyming with each other in chiasm: Flowers/pain, evil/capital(e). The text bears the number VI in a set of studies entitled: André Masson. This poem was taken up in the Cahiers du Sud, 1929, February, No. La guirlande d’un corps autour de sa splendeur.Ĭonsidered one of Éluard’s most important poetic collections, Capitale de la douleur (its title was originally L’Art d’être malheureux) is published for the first time in The Révolution surréaliste (October 15, 1925).
Rampe des moisĭ’hiver, jour pâle d’insomnie, mais aussi,ĭans les chambres les plus secrètes de l’ombre, Les lignes de la main, autant de branchesĭans le vent tourbillonnant. Privée de sang et de reflets, la cadence des tempes Le ciel tout engourdi, le ciel qui se dévoue n’est
L’aimant des ailes prend des visages bien clos, lesįlammes de la terre s’évadent par les seins et le La cruauté se noue et la douceur agile se dénoue. Stunning poem by Éluard, from one of his most famous collections Capitale de la douleur
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